Tout sauf ça...
Quand t'es étudiante, issue d'une famille modeste, sans un rond... dans la vie, t'as 2 solutions, soit:
*Tu fais du télémarketing, baby sitter, vendeuse au mac do ou hôtesse de caisse, et si tu bosses 14 heures par semaine, en moyenne tu gagneras 355 euros par mois...
(les chiffres ne sont pas d'moi, mais révélés par une enquête parue dans le Parisien, cette étude précise qu'à l'heure actuelle, 6 étudiants sur 10 sont obligés de travailler pour financer leurs études.)
* Ou tu fais comme Laura D, cette étudiante qui a sorti un bouquin récemment: "Mes chères études", dont t' as forcément entendu parler...
Si tu vois pas d'qui j'parle, c'est normal, elle est toujours apparue visage caché, lors de la promo de son livre, que ce soit à la téloche ou dans la presse...En gros, si tu veux... son activité se résumait à ça:
Je parle à l'imparfait, parcequ'aux dernières nouvelles, elle s'en serait sortie, mais ne semble pas encore convaincue de ne pas replonger!!
Extrait d'un de ses interviews: Qu’est-ce qui pousse à continuer ?
« L’argent. On ne peut pas dire qu’il soit facile à obtenir vu l’effort qu’il demande, mais rapide oui. Et puis c’est grisant de se retrouver un jour avec de grosses sommes. Après ma 1ère expérience, j’ai eu ce besoin de faire des achats. C’était compulsif. Alors, quand on se retrouve sans rien après plusieurs mois, on recommence...
A ce stade là, on est donc plus dans le besoin ou la nécessité, mais bel et bien dans l'appât du gain, où de jeunes nanas rêvent de paillettes à coup de.... galipettes!!
Triste constat, mais la prostitution concernerait 40.000 étudiant(e)s en France...
Moi j'dis Tout, sauf ça!!